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Ville de Mondragon -
Environnement - Lundi 24 Octobre 2022 Une pétition contre les nuisances dans la plaine du canton |
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Episodes précédents :
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Lancement d'une pétition sur Mondragon, Mornas et
Bollène-la-Croisière
A l'appel de l'association Aménager sans nuire à Bollène et ses environs (ASNBE), une récente réunion publique d'information au Domaine de La Tapie portait sur l'éventuelle implantation d'une usine de méthanisation à Mondragon. Encouragés par l'écho retentissant auprès d'une nombreuse assistance, des membres de l'ASNBE sont allés visiter le site de méthanisation Méthamoly à Saint-Denis sur Coise (Loire), un modèle du genre en exploitation depuis 2019.
Un constat vient de nous être rendu, lors d'une réunion à la Maison des associations à Bollène-la-Croisière (photo). Comparativement, à Mondragon, dans le secteur de La Tapie, une telle usine serait trop proche des habitations et aurait un impact défavorable sur le paysage et pour les riverains. L'accès actuel s'avère carrément sous-dimensionné pour des véhicules à fort tonnage qui emprunteraient la Via Rhôna avec un risque d'insécurité pour les cyclistes, nombreux du printemps à l'automne sur cette voie. Hors saison, la fréquence des camions dépendrait de l'origine des intrants.
Quant à la zone d'implantation, à Mondragon, elle est déjà soumise à toutes sortes de nuisances visuelles, olfactives et sonores : usine de traitement de boues, plateforme de compostage, autoroute, ligne TGV, gravières, plateforme de recyclage de matériaux... On y étouffe sans devoir en supporter davantage. D'où une pétition diffusée par l'ASNBE sur les communes de Mondragon, Mornas et Bollene-la-Croisière :
- Non aux nuisances successives dans la plaine du canton de Bollène,
- stop à la poussière générée par le site de concassage Pradier,
- non au projet d'un méthaniseur,
- pour obliger les installations existantes à respecter les réglementations en vigueur,
- pour permettre aux populations du canton de vivre dans des conditions normales,
- pour arrêter les installations qui dégradent toujours plus le cadre de vie. J. P.
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