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Association
La Rose

« La Rose » dubitative n’en poursuit pas moins ses débats
Un élargissement affectif et un changement de nom sont à l’étude

Samedi
27 Novembre 2015

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L'assemblée précède le débat.                        Jacques Brunel, président sortant (au centre).
  


Danièle Chesnay, conférencière au pied levé.

En quête de renouveau, La Rose s’interroge sur son devenir. Lors de sa récente assemblée générale, Jacques Brunel a déclaré qu’il envisageait de quitter son poste de président. Mais il soumet l’idée d’un élargissement remettant éventuellement en cause le nom de l’association. Elle pourrait ne plus se nommer « La Rose », trop liée au PS, mais resterait ouverte à toutes les sensibilités de gauche. Cette orientation n’est-elle pas déjà amorcée avec l’accueil d’un assez large public, venant des communes environnantes ?

L’élection d’un nouveau bureau (non connu à ce jour) devrait donc décider de l’avenir. Pour l’heure, le bilan 2014-2015 rend compte d’actions traditionnellement engagées : un débat sur le patrimoine naturel et la biodiversité (décembre), une exposition et un débat axés sur la laïcité et la liberté d’expression (avril) et, pour la fête annuelle à l’Ile-Vieille, un débat sur la transition énergétique et le réchauffement climatique.

   

Quelle réussite scolaire ?

A l’issue de l’assemblée générale, nous enchaînions cette fois-ci avec « La réussite scolaire pour tous, de l’idéal aux réalités ». Zahelia Arris, intervenante et formatrice Montessori, invitée à en débattre, s’est désistée. Elle a été remplacée au pied levé par Danièle Chesney, membre de La Rose, qui s’est notamment inspirée d’ouvrages circonstanciés : « La ferme des enfants pour une pédagogie bienveillante » de Sophie Bouquet-Rabhi et « Chagrin d’école » de Daniel Pennac.

Venant en renfort à l’improviste, Jean-Paul Blanc, ex-directeur de l’école Gabriel Péri à Bollène (et adepte de la pédagogie Freinet) a contribué à l’échange passionné avec l’assistance particulièrement branchée. Du doute de l’enseignant dépassé à l’élève largué en ZEP, en passant par l’incompétence parentale et l’échec scolaire, la foi en l’éducation nationale résiste comme elle le peut.     J. P.


Jean-Paul Blanc, pédagogue enthousiaste

  

 
Une assistance particulièrement branchée pour un débat captivant.
  


Et la Rose, alors ?
Qui la remplacera si elle disparaît ?
Pas la fleur de lys... trop royale !
Ni la violette... trop midinette !
Ni le camélia... trop lyrique  (Traviata) !
Ni le chrysenthème... trop funéraire !
Ni le coquelicot... trop tisane ! 
Ni le rhodonderon ou l'hortensia... trop je ne sais quoi...

Toutes suggestions sont bonnes à étudier.
Contacter le président sortant, très méritant, qui, comme Bacchus,
s'en ira avec une couronne, non pas de feuilles de vignes,
mais de roses bien rouges...
(si j'ai le temps, je hasarderai une illustration...)

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