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Ville de Bollène -  Dimanche 6 Janvier 2019
Une voix et une clarinette ont joliment fêté l’an neuf !
Un superbe concert traditionnellement offert par la Ville pour le Nouvel An   
  Edition 2018

10 vidéos retraçant le concert    Récapitulatif
        

Axée sur les bons produits du terroir, la gastronomie ne se prive pas de rappeler que « Nos régions ont du talent ». Le slogan vaut ici pour la musique. Aux gourmets, se substituent donc les mélomanes, invités à un superbe banquet musical. Ce dimanche, la Ville a offert à ses administrés son fameux concert du Nouvel An qui a fait le plein des gradins de La Cigalière. Deux jeunes solistes, espoirs régionaux en passe d’accéder au statut d’interprètes internationaux, étaient accompagnés d’un orchestre de chambre.


Aurélie Jarjaye, soprano lyrique

Originaire de la Drôme provençale, Aurélie Jarjaye pianote, dès l’enfance, à l‘école de musique Notes-en-Bulles de Buis-les-Baronnies. Elle poursuit son cursus aux Conservatoires d’Avignon et de Lyon, puis s’oriente vers le chant et intègre la Haute école de musique de Lausanne. En 2016, l’étude des grands rôles mozartiens à Vienne (Autriche) confirme son aptitude : c’est une soprano lyrique.

Natif des Cévennes ardéchoises, Jonathan Gleyse est issu d’une famille de musiciens. A 12 ans, il découvre la clarinette, l’apprivoise en autodidacte, puis, à 17 ans, se perfectionne au Conservatoire de Valence, avant d’atteindre la virtuosité maximale, via la Haute école de musique de Lausanne. Là même où la soprano et le clarinettiste se sont croisés pour ensuite ajuster ensemble leurs talents.

 


Jonathan Gleyse, clarinettiste

Ce duo épique aborde aujourd’hui un large un répertoire, délicieusement éclectique. Ils sont accompagnés d’une douzaine de musiciens. L’ensemble est dirigé par Marc Garetto, chef d’orchestre et arrangeur. D’où ces habiles transpositions permettant à la clarinette de remplacer tout autre soliste éventuel. Quant à la partie vocale, elle se déploie dans le registre velouté d’une soprano, aux confortables assises mezzo.

Qu’ont-ils donc ainsi passé à leur ensorcelante moulinette ? Des chants sacrés, lieder et orchestrations, le tout puisé chez Franck, Vivaldi, Schubert, Gounod, Monti, Brahms, J. S. Bach, Chostakovitch pour les plus connus.  Nous sommes définitivement convaincus : à quand la prochaine audition ? Peut-être pour le Nouvel An 2020. Qui sait ?           J. P.

         


Orchestre dirigé par Marc Garetto (à droite)
         

Les gradins de La Cigalière sont pleins


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