Toujours
très attendu, car offert aux Bollénois par la Ville chaque début d’année,
le concert du Nouvel An a fait le plein, ce dimanche, de la salle Brassens.
Inauguré en janvier 2010 et inspiré du traditionnel concert autrichien du Jour
de l’An à Vienne, cet événement ne déroge pas à la règle : un
programme classique de qualité satisfaisant les mélomanes, mais aussi un large
public pas forcément féru des pages du grand répertoire.
Pas
de changement, donc, à ceci près que, cette année, ce ne sont plus les
Floraisons musicales, fidèles pourvoyeurs durant huit ans, qui proposaient un
concert. Le service municipal, chargé des animations, a directement fait appel
à un l’ensemble instrumental, « Oct’Opus » (cordes et cuivres).
Issus
de conservatoires français et européens, et rompus à beaucoup de genres
musicaux, les huit jeunes et brillants exécutants semblent s’être habilement
concentrés ici sur de grands airs, savamment arrangés et piochés chez Strauss
(Beau Danube bleu), Tchaïkovsky (Lac
des cygnes), Fauré (Après un rêve), Ravel (Pavane pour une infante défunte),
etc.
Comment
résister à d’aussi grands « tubes » musicaux ? Immense succès,
donc, pour ce copieux récital, conclu par l’incontournable « Marche de
Radetsky » de Strauss. J.
P.
Accueil Reportages Vidéos Thèmes Associations Services
Historique
Archives Voyages
Contact 
Edition 2017
