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Ville de Mondragon - Dimanche 1er Novembre 2020
Reconfinement 1
Cannellonis aux épinards, pétunias fanés, double lessive,  géométrie variable dans la plaine... C'est le menu du parfait confiné !

Voir précédents volets (Mars-Avril 2020)
   

J'illustre (ci-contre) avec le dernier rassemblement affectif autorisé avant le confinement (le double anniversaire de Christophe-Claire mes meveux). Car son altesse Covid 19 sévit toujours. On en parlait massivement au masculin. Les grammairiens avisés ont rectifié le tir. Il faut dire La et non Le Covid. Ça change quoi ? Pas grand chose. C'est reparti pour un mois, peut-être davantage, à nous recroqueviller au coeur de nos craintes. Ajoutons-y un zeste de risque permanent d'attentat terroriste pour obtenir une crise sanitaire aux petits oignons, à déguster sans modération.

Mais les probabiltés d'être décapité dans la plaine du Rhône me paraîssent assez minces. C'est là qu'à vélo j'use de mon droit de balade journalière, durant l'heure autorisée, dans un rayon d'un kilomètre autour de chez moi. J'avoue mordre un tantinet sur la limite autorisée. Mon flair géométrique est plutôt élastique.

Je rouvre donc ma rubrique "Confinement". Pour dire quoi ? Je vais faire plus simple. Je ne continue pas ma série "Coq-à-l'âne dans le rétro", pourtant truffée de reportages vidéos (les miens évidemment). Elle n'a pas beaucoup fait tourner le compteur de vues. C'est frustrant. Pourquoi tant d'indifférence ? Je tends un miroir aux Mondragonnais. A quleques exceptions près, ils n'en ont rien à foutre !

Je me limiterai donc à quelques flashs, ici et là, cueillis sur l'ordinaire. A midi, je croyais me régaler avec des cannellonis... Manque de bol : ils étaient farcis aux épinards (et non au boeuf, je n'ai pas fais gaffe en les achetant) ! Il y a mes pétunias qui flanchent (fin de saison ou négligence ?) J'ai fait deux lessives cette semaine : une pour le linge courant, l'autre pour mes draps de lit changés... C'est longuet, la journée d'un confiné solitaire !

J'essaie de compenser le ralenti de ma fonction journalistique, dû à l'inertie forcée du monde associatif qui m'abreuve d'annulations ou de reports hypothétiques. Le Sporting craint de ne pas survivre. Le Foyer des jeunes, l'âge d'or, Apprendre des Anciens sont sur cale. L'ami Bruce (Comité des fêtes) est au chômage technique... C'est la bérézina !

A suivre...     Affectueusement, J. P.



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