Schubert au secours
de Mondragon-plus.com
Le poteau indicateur
Schubertiade ou foutoir ? Les deux à la fois !
Fond sonore : Extrait du Voyage d'hiver (Schubert) par Dietrich Fischer-Dieskau
 
Mi-mai 2009

Du même acabit :   Colzas 1    Colzas 2    Colzas 3  Tournesols  Coquelicots    Anti-tress   Lac    Gros nuage    Le chaland qui passe    Gros boulet   Roue libre   Neige

 

 

  • On dirait "Le poteau indicateur", extrait du "Voyage d'hiver" de Franz Schubert (c'est ce que vous entendez en fond sonore si votre son est connecté). Mais ici, des fleurs jaunes indiquent le printemps. C'est donc encore Meszigues qui affabule en jouant avec les similitudes (voir page).
     

  • Faut dire que j'aime bien les lieder de l'ami Schubert... Mais seuls les inconditionnels du genre me suivront sur ce terrain-là. Dommage ! Faut donc trouver une autre explication.
     

  • Ça pourrait  illustrer l'inextricable galaxie de Mondragon-plus.com qui, à ce jour, totalise plus de 800 pages, des milliers de photos, environ 200 clips vidéo...  La galère, quoi ! Va falloir aérer tout ça. J'envisage un classement par thèmes, puis une sorte d'archivage (sous-site)... Vite dit !

Je lève les yeux vers d'hypothétiques ailleurs, à l'instar du solitaire qui, chez Schubert,
"interroge un poteau indicateur montrant la route par où nul n'est revenu"

Ce poteau de traviole se situe à la gare de Bollène-la-Croisière, tout près d'une voie ferrée rouillée qui ne mène nulle part... Tout un symbole !

 

J'ai pas mal voyagé (voir page). Aujourd'hui, à défaut de les prendre, je regarde les trains passer.

 

Pancarte obsolète, lieux désaffectés, fleurs sans nom... Ça fait partie de mes virées solitaires au bout de l'insignifiant... Sauf pour qui sait voir !

 

Y a toujours quequ'chose, mystérieusement, à grappiller. Schubert est de la partie.
En attendant le "dégraissage" annoncé, c'est toujours ça de plus pour Mondragon-plus.com

 
 

Pour les initiés (qui n'ont pas coupé le son) :
vous entendez "Le poteau indicateur" extrait des 24 lieder du "Voyage d'hiver" de Franz Schubert.
C'est le baryton Dietrich Fischer-Dieskau qui chante, accompagné par le pianiste Gerald Moore (1972).

 

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