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Mondragon
Comité des Fêtes
Une guinguette pour rompre la torpeur estivale Samedi 
14 Juillet 2012

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Gérard (au centre) est toujours au top avec son canotier.
   


La belote rivalise avec le bal

Les villages font ce qu’ils peuvent. La notoriété d’un festival n’y ameute pas toujours les foules. Le Comité des fêtes de Mondragon s’escrime tant et plus pour animer le cœur de l’été.

Après « Rock au Sablet » puis « Village en fête » qui ont vécu, voici une guinguette, apparue l’an dernier le 14 juillet. Une seconde édition a tenté de pérenniser l’événement. A midi, les flonflons battaient vainement le bitume autour d’un méchoui partagé sous les platanes entre une vingtaine de convives.

Le flux est venu le soir autour d’une paella qui a fait le plein des tables. Entre l’animation musette, assurée par « Les Cigales », et le florilège de chansons françaises des « Gueules d’Aminches », nous avons particulièrement apprécié le trio « Pense-Bête » qui a du punch à revendre et vient de sortir un nouvel album, « Lune sans nuit », disponible sur :  http://www.pensebete.fr

  

"Les Ciglales" assurent une animation musicale.
  

Le trio « Pense-Bête » a du punch à revendre. Voir leur dernier album sur : http://www.pensebete.fr
  

Aurélie (Comité des fêtes)                                Le Sporting-Club Mondragonnais                                              On attend la paella
   
Une paella puis un bal ont fait le plein de l’avenue Marcel-Pagnol.
      
Tant pis pour "les Gueules d'Aminches" !  


"Les Gueules d'Aminches" (photo archives)

J'ai manqué "Les Gueules d'Aminches" qui ont bien clôturé la soirée. Pourquoi ? Parce que leur concert n'était programmé qu'après la paella et la prestation du trio "Pense-Bête".

Comme d'habitude (voir l'an dernier), je n'avais pas réservé mon coin de table pour la bouffe (mea culpa). Je n'aime pas prendre de ticket. Encore moins faire la queue. Ce n'est généralement pas de mise pour la presse dans les festivals d'alentour.

Il y avait bien la possibilité d'un reliquat, suite au peu de couverts servis à midi. Je n'ai pas osé m'aventurer (même avec le porte-monnaie à la main) vers l'intendance. Alors, j'en avais marre d'attendre en regardant bouffer les autres. Je me suis barré.

  


Je déclare Gégé Roi de la guinguette !

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