Pratiquement libérée des contraintes
sanitaires ou feignant de croire à certain rebond, la population s'est
librement livrée aux festivités du carnaval qui reste l'apanage du Sou
des écoles laïques. Habillée d'accoutrements noirs, l'équipe
organisatrice arborait des tenues de rockers. Pas forcément alignée sur
ce thème, la foule véhiculait des mascarades diversifiées. Manquaient à
l'appel les fidèles troubadours tout de blanc vêtus de la Compagnie
Vendaqui (indisponible), remplacée au pied levé par une fanfare nîmoise.
Mais le compte y était : le tour de ville jubilatoire, le jugement et la
crémation de Carmentran, la farandole autour des flammes, le goûter
offert aux enfants. Une réussite sous un soleil éclatant. J. P.
Le clocher de Sainte-Trophime et les ruines du château
sont un décor naturel idéal.
Des confettis à gogo !
Les rockeuses du Sou
Une fanfare nîmoise
Au cœur du défilé
Ces baladins nîmois remplacent au pied levé la
Compagnie Vendaqui (indisponible).
Séquences
incontournables via place de la Paix puis devant l'hôtel Renaissance de
Suze
Ne cherchez pas le jugement de Carmentran (je l'ai
loupé et il était inaudible).
Le feu anti-Covid et protecteur de l'Ukraine
Belle farandole... suivie d'un goûter offert aux
enfants.