Accueil   Reportages  Vidéos   Thèmes    Associations    Services   Historique      Archives     Voyages     Contact       

Bollène
Solidarité
Le Sou de Poche s’interroge sur l’avenir de l’hôpital
Un apostolat en place depuis bientôt 80 ans
Jeudi 
26 Jznvier 2012

Episodes précédents

    


            Chorale orangeoise « La Belle Epoque »             Le président Claude Cuillerai         Les résidants sont très attachés au Sou de Poche
   

Le Sou de Poche de l’hôpital Louis-Pasteur poursuit régulièrement ses visites, destinées à adoucir le sort des 85 pensionnaires actuellement répartis  dans les étages de l’établissement. Des friandises et des cadeaux leur sont distribués. Les plus valides sont aujourd’hui descendus dans la grande salle du rez-de-chaussée pour un assister au concert proposé par la chorale orangeoise « La Belle Epoque », habituée du lieu. Axé sur la chanson française, son répertoire revisite toutes les époques et fait merveille auprès d’un large public.

Claude Cuillerai, président du Sou, explique : « Cette visite est la première de l’année. Elle cumule les vœux du nouvel an et l’épiphanie. Nous élaborons actuellement le calendrier 2012 pour une dizaine de visites qui prennent en compte Pâques, la Fête des mères, la fête nationale, etc. Les résidants sont toujours heureux de nous voir, ils nous attendent. »  

Apparu en 1935, l’apostolat du Sou de Poche dure depuis bientôt 80 ans. C’est dire son opiniâtreté ! La perspective d’une relocalisation de l’hôpital suscite toujours des craintes. Mais le projet reste dans l’impasse. Il serait repoussé dans le plan état-région 2014-2019 (voir notre édition du 21 janvier). 

Les craintes du Sou de Poche rejoindraient celles de Benjamin Oppenheimer, directeur de l’hôpital, comme le confirme  Claude Cuillerai : « Nous craignons l’éloignement du centre ville. La municipalité plaiderait pour un hôpital intercommunal qui se situerait en zone externe ouest, entre Bollène et Lapalud, à proximité d’autres nouveaux aménagements également envisagés tels qu’une salle des fêtes ou des courts de tennis couverts. Tout le monde n’est pas favorable à cette décentralisation. »
 

Haut de page