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Bollène
Polymusicales
Festival d'été - Du 11 juillet au 8 août
Hervé Villard s’est donné à fond devant ses adulateurs
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Vendredi
8 Août 2014

Vidéo (Capri, c'est fini) Durée 2 minutes

     
Tito et Samuel, Les Latinos Lovers, assuraient la première partie.  
  


La star des années sixties Hervé Villard.  

Surprise : non annoncée sur le programme, une première partie était consacrée à Tito et Samuel, les Latinos Lovers (qui reviendront hors festival dimanche soir 17 août), chargés de chauffer l’ambiance. Ils s’en sont acquittés avec assez de brio pour tromper l’impatience du raz-de-marée humain, comparable à celui venu une semaine plus tôt se repaître du bel Amaury Vassili, jeune gloire montante.

A ceci près qu’ici, succédait une star de la chanson française des années 60, aux côtés de Michèle Torr et Christophe, et parrainée par Dalida qui le propulsera au zénith.

Aujourd’hui, les fans sont toujours là. Bercés par ses chansons, leurs souvenirs auréolent l’idole, marquée par l’âge. L’entrée en scène pathétique d’Hervé Vilard, presque septuagénaire, s’est vite muée en un irrépressible élan, relayé par les musiciens et les « wouah-wouah » de deux blondes et ravissantes égéries. De blanc vêtu, mains tendues, le regard dans les étoiles, tout entier éperdu, Hervé Vilard s’est offert à son public qui l’a ovationné.

On peut ne pas être un adulateur attitré. Mais en le revoyant chanter avec tant de conviction « Méditerranéenne », « Nous » ou « Capri c’est fini », on mesure l’étendue du pouvoir d’une chanson sur le vécu.

   
Je ne suis pas érudit en la matière... Mais je puis vous dire qu'il a, entre autres, 
chanté "La vie en rose" et "Les feuilles mortes", et, bien sûr, "Méditerranéenne", "Nous" et "Capri, c'est fini". 
   

   
Gisèle et Claudius, Romain Rodriguez et Jacky Morel (il ne faut plus, paraît-il, dire Cunégonde) sont bien là... 
     

 
Si fait, c'est bien Meszigues, pas vraiment un groupie, mais qui avoisine le magma et se laisse prendre au jeu...
    
 
Les fans sont toujours là et gardent leur foi intacte.
   

Le même dans les années 60... Souvenez-vous ! 


Vidéo (Capri, c'est fini) Durée 2 minutes
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