Précisément,
un débat enrichit toujours les rencontres de La Rose, qui se concluent
autour d’un cordial buffet. Cette assemblée était donc axée autour
d’un problème de société pas vraiment réjouissant : « Une
fin de vie digne à quelles conditions ? » Or Edmond et
Danièle Chesney, membres très actifs de La Rose, se sont fort bien tirés
d’affaire, en sachant capter l’auditoire.
Le propos
évoquait la difficulté des tribunaux, malgré la loi Leonetti de 2005,
liée aux questions que pose la fin de vie : soins palliatifs, illégalité
de l’acharnement thérapeutique, droit de mourir du malade, désignation
éventuelle d’un interlocuteur de confiance en cas d’inconscience,
etc. Surgit alors le douloureux cas de conscience de l’euthanasie.
Les
projets de l’année 2013 reposent sur d’autres prochains débats
tels que : « Comment appréhender la violence, le choc
solidarité-compétitivit,é la désobéissance civique. » Les
choix restent à fixer. L’un d’eux occupera la Fête de la Rose, prévue
samedi 21 septembre 2013 à l’Ile-Vieille.