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Ville de Bollène - Floraisons musicales
Dimanche 5 Janvier 2014

Le concert du Nouvel An ravit toujours son auditoire
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Cette 5ème édition s’inscrit durablement dans les mœurs bollénoises. Chaque premier dimanche de l’année nouvelle voit affluer une foule d’administrés à la salle Brassens, où la municipalité leur offre l’incontournable concert du Nouvel An. A l’instar de Vienne, Paris, Strasbourg, Marseille et autres villes privilégiées, depuis 2009, Bollène cultive cette délicate attention, « destinée à promouvoir la qualité et à fidéliser un large public », rappelle à l’envi Jacqueline Morel, adjointe à la culture.

C’est là qu’interviennent les Floraisons musicales, par chance, sises à Bollène, et dont le festival rayonne en Provence depuis 16 ans. Trois concerts annuels sont donc offerts gratuitement aux Bollénois en janvier, juillet (Polymusicales) et septembre (journées du patrimoine).

Un orchestre de chambre juvénile

D’aussi belles conjonctures ne sont pas si courantes. Cette mécanique bien huilée a des atouts imparables. Créé en 2012, l’orchestre de chambre Eclosion regroupe une douzaine de jeunes et brillants solistes. Nous les découvrions en 2013. Nous les retrouvons aujourd’hui, conduits par Roberto Gianola, venu d’Italie et à peine plus âgé que ceux qu’il dirige avec poigne. L’ensemble à cordes se prédestine au vaste répertoire classique. Pour autant, il faut plaire au plus grand nombre, en ne débordant guère sur l’éventuel inconfort de l’ère contemporaine.

Un sextuor de Brahms (op. 18) ouvrira le concert. Surnommée « Sextuor du printemps », cette œuvre de jeunesse a facilement séduit l’auditoire. Le charme s’élèvera d’un cran avec Mozart et sa symphonie concertante pour violon et alto (K. 364), déjà programmée en 2012, un doublon dont personne ne se plaindra. L’on ne rechignera pas davantage de réentendre les Strauss père et fils, avec « Le Beau Danube bleu », dû au premier, et « Marche de Radetsky », due au second. En bis, « Pizzicato polka » a porté l’enthousiasme du public à son comble.


De jeunes et brillants solistes.


Des ovations pour l’orchestre Eclosion et son chef Roberto Gianola.
   

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Mozart  - Symphonie concertante
pour violon et alto

Straus fils 
Beau Danube Bleu - Pizzicato Polka

Strauss  père
Marche de Radestsky

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