Cette virée urbaine dans les
infrastructures sociales et patrimoniales de jadis est la quatrième
du genre. L'humidité ambiante et les parapluies leur confèrent un
caractère précieux : une pluie fine n'a pas rebuté une vingtaine de
badauds, transformés en visiteurs attentifs dans leur propre
village. Tel un chemin de croix d'agrément à ciel ouvert, treize
stations, illustrées par de magnifiques et grandes reproductions de
cartes postales anciennes, ont captivé les ouailles, suspendues au
commentaire avisé de l'historien local Jacques Brunel. Un grand
bravo pour cette résurrection originale d'un riche passé, dont
l'initiative est due à l'enseignant et conseiller municipal Yannick
Truc.
J. P.