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Parlaren a rendu hommage à Jean Henri Fabre

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Anne-Marie Slezec, ancienne conservatrice de l’harmas.         Jean-Louis et Jacqueline Ramel évoquent Jean-Henri Fabre.
   

Il y a eu l’année Frédéric Mistral (1830-1914), voici l’année Jean-Henri Fabre (1823-1915). L’hommage posthume porte le 100ème anniversaire d’une mort magnifiée. D’où une avalanche de conférences, expositions et évocations. Sur Bollène, Parlaren et la Ville évitent de justesse un doublon en espaçant leur culte respectif d’une semaine. Nous rendons compte ici du premier volet qui occupait l’étage de la Maison de la culture provençale.

Anne-Marie Slezec, docteur es-sciences naturelles et ancienne conservatrice du fameux harmas sis à Sérignan-du Comtat, est venue en personne évoquer la vie et l’œuvre du célèbre entomologiste. Illustrée de photos, sa conférence érudite était suivie d’une dédicace de son ouvrage sur Jean-Henri Fabre, qui était aussi poète et écrivain. D’où des textes et chansons, grâce à l’intervention imagée du couple Jacqueline et Jean-Louis Ramel. Ce déploiement rappelait les multiples facettes d’un homme de sciences, humaniste et polyvalent, dont l’œuvre appréciée dans le monde a été traduite en quinze langues. Parlaren a donc dûment rempli son mandat, par cet hommage allégorique, conclu par le pot de l’amitié.

Par ailleurs, à l’hôtel de ville, devant une exposition remarquable consacrée au Naturoptère de Sérignan-du-Comtat (salle des Pas perdus), est intervenu Emile Laguna, autre érudit invité par la Ville, pour une évocation, de « Fabre d’hier et d’aujourd’hui ». A suivre…
   

 
L'homme du jour face à ses laudateurs.                Les habitués de Parlaren n’ignorent plus rien sur l’entomologiste.

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