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De célèbres faux-culs peints
par Claude Monet (1840-1926) |
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Une affiche de Tartuffe (alias
faux-cul)
Molière (1669) |
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Le présumé faux-cul, pseudo-chroniqueur
de Mondragon-plus.com |
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Le faux-cul courageux |
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L'eau qui passe sous les ponts
d'où se jettent
les faux-culs, considérés à tort comme tels. |
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Étymologie
:
A
l'origine, le faux-cul désigne familièrement une tournure ou
un rembourrage que les femmes portaient jadis sous leur robe afin
d'augmenter le volume de leur postérieur. Par extension, c'est une
forme d'hypocrisie qui nous amène au chapitre suivant.
Définitions, synonymes :
- Les épithètes
abondent. Nous avons le choix entre : suborneur, tartuffe,
dupeur, menteur, déloyal, partial, etc.
Proverbes
:
Je
ne vous en citerai qu'un seul, très imagé : "Il est malaisé
de baiser un faux-cul." Bien sûr, tout dépend de ce qu'il
faut entendre par "baiser".
Pourquoi
cette réflexion ?
Il
y a un début à tout. Alors que le compteur de mon site vient de
franchir le seuil des 100 000 visites (ce qui m'a tout de même valu
quelques marques d'affection), quelqu'un (non, je ne vous dirai pas
qui) vient de me balancer à la figure : "Tu n'es qu'un
faux-cul !"
On
peut ne pas être d'accord avec ce que je dis. Il peut effectivement
m'arriver de m'écarter du sujet. De me laisser duper par la magie des
mots. Mais pas au point de personnifier le faux-cul idéal !
J'ai
vertement riposté. La discussion a tourné court. Je croyais pouvoir
en rester là. Mais l'insulte - car c'en est une - a distillé son
venin. Pour qui me prend-on ? Le trop bien écrit n'est pas toujours
saisi par un esprit poussif.
L'éthique
de Mondragon-plus.com - je ne le répèterai jamais assez - est de
respecter toutes formes d'expressions, artistiques, sportives ou
autres, intéressant le village (et ses alentours dont Bollène).
Les
querelles intestines, les clans et autres sacs de noeuds ne
me font pas peur. L'avouerai-je ? Cela me stimule ! Un
brin de causticité, un chouia d'humour, de courtois regrets
ou des dithyrambes mesurés... et le tour est joué !
Il
m'est arrivé, certes, d'être un peu sévère (notamment au sortir du
Drac 2010). Mais pas si injuste que cela ! Et je sais gré,
aujourd'hui, à mes "victimes" de ne plus m'en vouloir.
Quel
faux-cul ?
Alors,
me sied-il ce faux-cul ? Mais lequel choisir des trois ? Il ne peut
s'agir de l'artifice gonflant l'arrière-train de ces dames. Encore
moins de s'échiner à vouloir "baiser" ce "cul"
qui n'en est pas un. Ne reste donc bien que l'hypocrite, le hâbleur,
le chroniqueur malintentionné qui, bénévolement depuis six ans,
fait mine de tenir à jour les activités plurielles du village.
Or,
mes quelques possibles "dérapages" restent insignifiants,
comparativement à la probité du travail considérable qu'exige la
mise à jour quotidienne d'un tel site. Ceci parallèlement aux
articles pondus quotidiennement pour "La Provence" qui
m'emploie depuis bientôt trente ans et à qui je dois cette technique
journalistique, loin d'être déplaisante !
Pardonnez-moi
si, d'aventure, j'ai plutôt l'air de dire du bien de moi. Mais il
fallait remettre les pendules à l'heure. Faux-cul ? Connais pas ! Je
n'ai pas le sentiment d'en voir un devant ma glace. Pas plus que je
n'oserais en décrire un seul sur ce site.
Alors,
donnant-donnant : je vous respecte, respectez-moi !
Cordialement, J. P
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