D’où vient ce joli « coup de patte » ?
Natif d’Alès et établi juste à côté, à Saint-Julien les Rosiers, Volpi
est un autodidacte. Il s’éprend des impressionnistes, affectionne Monet et
Renoir, puis découvre Ambrogiani et ses empâtements lumineux. « Tous
m’ont donné l’envie de peindre », nous confie-t-il.
L’aventure
picturale débute voici quarante ans. Parallèlement, le peintre alors amateur
professe dans un tout autre domaine, celui de l’industrie chimique. Au seuil
des années 80, il se consacre exclusivement à son art. Encouragé par des
galeries en France qui le suivent, en 1990, il opte pour le statut professionnel
et poursuit aujourd’hui sa carrière.
C’est une belle histoire, toute simple, faite
pour propager du bien-être. Ne vous en privez pas. L’exposition est visible
à l’Espace Ripert (place de l’hôtel de ville) jusqu’au 28 août. Entrée
libre.