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Comité des fêtes - Samedi 19 Novembre 2011
16èmes Rencontres des Musiques et Saveurs de Terroirs
Les saveurs africaines dans tous leurs éclats !
  Vendredi soir : Kristo Numbuby (Brassens africain)

 Vidéo 4' 50"
A voir absolument pour les percussions et la danse
de Mamma Africa, et le public au diapason. 

Axées sur l’Afrique, ces 16e rencontres des musiques et saveurs de terroirs ont débuté avec un Brassens exotique, alias Kristo Numpuby . Le lendemain, les Africains ont poursuivi l’odyssée musicale, autour d’un dîner africo-provençal qui a régalé les convives avec du poulet en sauce au riz et aux cacahuètes.

Deux groupes distincts ont suivi, autour d’Adama Cissoko. Le premier, nommé Djama, est co-dirigé par Olivier Darricades qui, non content d’utiliser sa carte blanche pour l’organisation du festival, se mouille ici en s’immisçant avec son saxo. 

Ce frère blanc francise l’ensemble qui, d’ailleurs, s’acoquine avec du jazz et des rythmes latino-américains. D’où ces chansons aux paroles prédestinées : « On a besoin de l’autre pour vivre » ou « la planète n’appartient à personne ». Le tout rehaussé par les costumes colorés et les instruments typiques, dont la kora, sorte de harpe mâtinée banjo.

Le second groupe, baptisé Dounia, se recentre sur l’Afrique de l’Ouest. Adama Cissoko  l’a créé à son arrivée en France en 1998. Lui et ses potes sont basés sur Avignon. Ce qu’ils donnent à voir et à entendre est d’une magnificence absolue. 

Les percussions à mains nues sont effrénées, et la danse acrobatique, aussi. En amont, des stages ont facilité la participation du public. Au final, l’osmose s’est conclue bien au-delà de minuit. Grand merci au Comité des fêtes pour cet événement africanophile !

Salia Kouyaté, conteur du Burkina Faso

  

Le jeune public s’est délecté des délicieuses facéties du conteur Salia Kouyaté qui joue du djembé 
et perpétue de vieilles histoires, peuplées d’animaux savants, comme le veut la tradition mandingue.
 
Côté public, entre la buvette et les agapes provençalo-africaines, le punch au gingembre et le poulet aux amandes.
  
Olivier Darricades (saxo) a rallié ses potes africains et francisé le groupe.
  
Adama Cissoko a créé le groupe Djama en 1998.
    
Djama a assumé la 1ère partie. On enchaîne avec Dounia (ci-dessous).
   
Toute la magnificence africaine du groupe Dounia.
     
Adama Cissoko et son égérie... C'est elle qui danse (voir plus bas).
  
La salle est au diapason. J'ai dansé en filmant. Ces images sont extraites de ma vidéo. 
   
Les percussions à mains nues sont époustouflantes. L'égérie africaine a changé de robe. 
En bleu ou mauve, c'est kif-kif : une joliesse et un punch à couper le souffle !
       
Puis-je être légitimement fier de ces images saisies au vol ? 
Si on m'envoyait un petit mot pour me dire qu'elles sont belles, j'en serais heureux ! 
Mon dernier mot sera pour le Comité des fêtes : merci pour cet événement africanophile ! 

     Vidéo 4' 50"

Un week-end africain à Graveson les 3 et 4 décembre 2011
Affiche 1       Affiche 2

 

 

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