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Ecrire n’est pas une mince affaire. On n’écrit pas seulement
pour soi, mais aussi pour les autres. Un exemple nous vient de Marie-Laure Davezan qui, tout récemment, nous invitait à l’espace culturel de l’hypermarché
Leclerc pour la dédicace de son ouvrage « L’Adieu », exutoire autobiographique,
faisant suite à une rupture amoureuse (voir
page).
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Délivrée d’une incubation qui l’a rongée durant 6 ans, la
jeune femme rayonne aujourd’hui d’optimisme. Accoucher d’un bouquin serait donc
aussi une thérapie ? Réponse : « Cette expérience douloureuse reste unique.
J’en suis libérée. Elle n’aura pas de suite littéraire. »
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Alors finie,
l’écriture ? Bien sûr que non : « J’ai plein d’idées
nouvelles et passe à une thématique complètement différente. Et comme je suis
passionnée d’histoire, mon prochain livre bénéficiera d’une assise historique. »
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Ce second ouvrage pourrait s’appeler « L’enfant aux yeux
noirs ». Entre autres, il se nourrirait des souvenirs d’un grand-père militaire
de carrière. Donc un nouvel apport d’autobiographie ? « Oui, une part de vécu
reste inéluctable. C’est ce qui touche les autres. »
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Cette parution est
prévue pour 2010 ou 2011. Marie-Laure Davezan a, devant elle, de belles pages
blanches à remplir.
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Dans l’immédiat, reste disponible « L’Adieu » (84 pages, 10
€). A consulter :
www.editions-amalthee.com
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