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1. Le conservatoire a superbement swingué à la Cigalière  
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VidéoSi j'ai le temps... (montage)


Gilles Vernet, chef de file

Inclus dans le récent week-end musical, organisé chaque printemps par le conservatoire, l’ensemble jazz et musiques contemporaines, dirigé par Gilles Vernet, a superbement honoré son contrat. Programmé, non plus à la salle Brassens mais, pour la première fois, à celle de La Cigalière, le concert bénéficiait d’un confort et d’une acoustique d’exception.

Avec la collaboration de l’APE (Association des parents d’élèves), la formule est toujours celle du cabaret. Eloignées de la scène, les tables préservent une piste de danse. Le public s’y défoule, au gré d’éventuels rythmes engageants.

Quelques humeurs chagrines regrettaient cependant la perte de certaine intimité. Il n’empêche qu’avec davantage d’espace et de moyens techniques, les musiciens sont d’autant plus motivés. Nous les avons trouvés particulièrement bons. Enrichis d’une guitare, d’un violon et de la voix de Cathy Salerne, les cuivres ont allègrement égrainé un répertoire adéquat.

Le second volet du week-end était traditionnellement consacré au concert des orchestres (cordes et cuivres). Voir plus bas...       J. P.


Cathy Salerne, saxo, voix... et égérie du groupe !
      

Gilles Vernet (à gauche) et son ensemble jazz et musiques contemporaines.

          La formule cabaret nous sort agréablement des sphères scolaires.
         
   

Ville de Bollène - Conservatoire - Dimanche 19 Mai 2019
2. Les orchestres du conservatoire en concert à la Cigalière

VidéoSi j'ai le temps... (montage)

L'accueil de Claude Raoux (Ville) et Gilles Vernet (Conservatoire)
           

Le premier volet du week-end musical (voir plus haut) portait sur le jazz et les musiques contemporaines. Le second concerne des partitions plutôt classiques et autres. Même constat : mieux qu’à la salle Brassens, la Cigalière augmente le prestige. Mieux encore : ici sont dégagés des gradins amovibles de 750 places qui ont fait le plein. Soit autant de raisons motivantes qui pourvoient à l’excellence des musiciens.

Deux chefs d’orchestre ont respectivement occupé les deux parties du concert. Le premier se nomme Etienne Beauny (qui succède à Yvon Durnez momentanément souffrant). Il dirige les cordes qui ont satisfait les mélomanes avec des morceaux audacieux, dus à Haendel,  Mozart (père et fils), Vivaldi, Jenkins, Verdi, Grieg et Liszt. Y figuraient des titres connus tels que Symphonie des jouets, Symphonie n° 40, La Traviata (prélude), Peer Gynt (danse d’Anitra) ou Rhapsodie hongroise.

 


Etienne Beauny, chef d'orchestre

      


Entracte
       


Valentin Conte, chef d'orchestre
     

Le second chef Valentin Conte est à la tête de formations diverses qui élargissent d’autant le répertoire, adapté au niveau des exécutants. Se côtoient ainsi orchestres d’harmonie (cycles I et II), orchestre à cordes, orchestre de chambre et orchestre symphonique (harmonie + cordes). Soit un total de quelque 80 exécutants, pour la plupart élèves du conservatoire ou en passe de le devenir car actuellement membres de l’orchestre du collège Eluard et d’une classe musicale de l’école de Lapalud.

A l’avenant, les musiciens se sont répartis à loisir au fil d’extraits brillants : Pirates des Caraïbes (Badelt), Carmina Burana (Orff), Valse (Chostakovitch), Symphonie du Nouveau monde (Dvorak), etc.    J. P.  


Collège Eluard et école de Lapalud s'immiscent dans le concert (rangées du fond)
      

Au total 80 exécutants (orchestre symphonique)
     


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