Cette chronique sur le
lifting du centre ancien (
voir les deux volets
précédents) est diversement appréciée. Monsieur le
maire Christian Peyron s'en est offusqué. Par une volée de
bois vert !
Effectivement, devant cette
démolition, j'ai imaginé deux options (à relire sur le volet
précédent) : m'effrayer du massacre ou me réjouir
d'une aération spectaculaire. C'était pour rire. Car j'ai évidemment
préféré la seconde option : l'aération spectaculaire. J'ai
aussi dit que j'apprécie de voir désormais de mes fenêtres, côté ouest,
l'église, et côté sud, le château. J'ai enfoncé le clou en
faisant chorus avec le voisinage pour dire
: voilà qui
augmentera la valeur de nos maisons. Sont-ce là des motifs de
désapprobation ?
Quant aux pans de vie
réduits en poussière et à la vision apocalyptique, cela
n'ébranle que le chat, surpris au centre des gravats. Mais le
brave matou déboussolé, censé relativiser le chambardement,
n'a
aucunement diverti le premier magistrat, convaincu du rôle
destructeur, envers la commune, du site mondragon-plus.com.
A mon tour d'être blessé.
Il est temps de tordre le cou à la polémique ! Mes coquetteries
littéraires et autres seconds degrés humoristiques peuvent ne
pas être du goût de tous. Mais ils ne gênent pas grand monde.
Créé en 2006, mon site en est à sa 12ème année d'existence.
C'est une rubrique journalière (et bénévole) pour de
fidèles internautes qui m'encouragent à poursuivre.
J. P.