Mardi 23 juin 2009
Coupure intempestive
de mondragon-plus.com
du 22 juin au soir au 23 juin vers 15 heures
Meszigues n'est pas content. La Grenouille non plus !

 
  • Les hébergeurs de sites sont moins que des marchands de soupe. Ils n'ont pas d'état d'âme. Ils vendent de la "bande passante". Autant dire du vent. Il s'agit tout de même du volume des navigations des visiteurs, exprimé en Go (les spécialistes comprendront, moi j'pige pas grand chose, mais j'sais que j'suis en train de m'faire plumer).
     

  • Après une première remise à niveau, l'an dernier, je suis déjà passé à la tranche supérieure de 60 Go par mois pour un coût annuel de 197,33 € (1 300 balles) ! Hier, vers 22 heures, j'atteignais 61,68 Go. Donc : dépassement et coupure sans préavis avec promesse hypothétique d'une réouverture le ler juillet prochain.
     

  • J'ai passé un savon à Coeur Internet, mon hébergeur, plus intraitable que le percepteur qui, lui, a la correction élémentaire d'envoyer un avis avant saisie. J'ai bien envisagé d'aller héberger ailleurs mondragon-plus.com. Mais on ne déménage pas aisément plus de 800 pages, des milliers de photos, plus de 200 clips vidéo, etc...
     

  • A nos corps défendant, la Grenouille et moi, nous restons donc chez Coeur Internet. En optant pour la tranche suivante (illimitée), outre le temps irraisonnable qu'on y passe, il nous en coûtera désormais 264,60 € l'an (soit plus de 1700 balles) !
     

  • J'aime pas parler d'argent. J'm'étais juré de ne jamais vous enquiquiner avec ça. Mais à ce tarif-là, ce n'est plus du bénévolat. C'est de l'imbécillité sacerdotale. Fallait quand même que vous sachiez. Faut vraiment qu'on vous aime, la Grenouille et moi, pour continuer !
     

  • Et puis Mondragon y est plutôt bien défendu, non ? La municipalité m'a "médaillé" en janvier dernier. C'est déjà ça...!
     

  • J'attends vos encouragements. Merci à ceux qui, déjà, me témoignent régulièrement leur sympathie.
                                                                                                         Affectueusement,
                                                                                                                              
                                                                                                                                    Jean