Accueil   Reportages  Vidéos   Thèmes    Associations    Services   Historique      Archives     Voyages     Contact     

Nouvel an Bonne année ! Samedi 31 décembre 2011
  

Chers fans,

Sans tralala, ni formules alambiquées ni de poncifs à l'emporte-pièce, je vous souhaite simplement, à tous, une bonne année 2012 !

Histoire de maquiller l'émotion, en fonction de ces 150 visiteurs qui, en moyenne, parcourent journellement Mondragon-plus.com (le compteur affleure aujourd'hui les 130 000 visites et devrait en afficher 150 000 l'été prochain), j'avais bien imaginé pondre une de ces diatribes douces-amères (voir série Monologues) qui, elles aussi, sont en panne.

Mais je n'en ai pas eu le temps. Je suis éternellement à la bourre et ai du mal à tenir le rythme (journal et site).

Vous vous contenterez donc ici de cette cordiale platitude qui fait office de bons voeux. Pas de fioritures éculées, donc, ni de cet humour potache qui illustre nos mails. Seulement le sourire de Meszigues...

Oui, c'est bien moi, là, sur la photo. Non, ce n'est pas un vieux cliché sauvegardant un zeste de juvénilité. C'est le moins tarte de tous dans la galerie 2011 (je vous épargne les autres, plus ou moins croquignolets). Celui-ci date de mai dernier (Fête du Drac). Je n'ai pas trop l'air d'un croulant...

Cette (relative) jeunesse, c'est à vous tous que je la dois. Vous maintenez ma curiosité en éveil. Dieu sait si cela m'occupe ! Toutefois... Cet échange affectif se partage entre Mondragon et Bollène (que j'ai séparés sur la page d'accueil pour plus de clarté). Mes voeux se dispatchent donc d'autant.

Certains en sont chiffonnés... Ils ont tort. J'ai un coeur "gros comme ça". Il bat pour tout le monde !

Je vous embrasse très fort, ou bien vous gratifie d'un de ces ronds de jambe distingués qui respectent les distances et pourvoient aux vernissages. Je pourrais aussi vous rouler un palot... Hélas ! Ce cas de figure suppose une inimité devenue rarissime...

Bref, de vous à moi (et vice versa), ce sera en fonction du degré de familiarité... Etant admis que ceux qu'on vouvoie ne sont pas forcément les moins aimés... Tout comme on n'adore pas systématiquement ceux qui nous tapent sur le ventre... A vous de voir et de butiner la juste mesure !

                                                                             Affectueusement,    Jean